Après vous avoir donné un petit aperçu de Manille, et m’être extasié en long, en large et en travers sur notre resort, il est finalement temps d’aller à l’essentiel, et vous montrer ce pour quoi nous avons fait tout ce trajet : White Beach ! Soit littéralement, la plage blanche. Et il faut dire qu’elle porte bien son nom. Sur plus de 4 kilomètres, un sable blanc et fin attend que nous le foulions. Il s’agit probablement d’un des sables les plus blancs (mais la dernière fois que je suis allée à la plage, ce fût sur les plages de cendre noire de Sicile, ma référence s’en est donc peut-être trouvée un peu décalée) et les plus soyeux que j’ai rencontré.
En plus du sable magnifiquement doux (je ne compte plus les adjectifs extatiques que j’ai utilisé dans ces quelques articles…), la mer était d’un bleu superbe (tiens, encore un). Les différentes nuances et couches de bleu faisaient totalement rêver, une véritable île paradisiaque !
Le long de la plage, tout type d’activité est proposé, kayak, paddling, kite surfing, plongée, jet ski, etc. Bref, tous les sports nautiques ou presque sont pratiqués ici. On retrouve aussi évidemment pleins de vendeurs ambulants. Et puis, il y a aussi toutes sortes de croisières, notamment lors du coucher de soleil, particulièrement admirable.
Et en échange de quelques billets, les enfants (voir des adultes), vous construirons de magnifiques châteaux de sable, à votre nom.
A voir tout ceci, nous oublierons presque que les Philippines sont un pays très religieux. Mais de temps en temps, de petits (ou gros) détails viennent nous le rappeler.
Le petit Jésus en robe à fleur mérite de rentrer dans la compétition de Saintes vierges à étoiles lumineuses de Sicile.
Évidemment la plage fait rêver. On est loin des lumières de ma Normandie…
C’est sur que là, la compétition est serrée.
La plage n’a effectivement pas grand chose à voir avec celles de Normandie, mais les tiennes ont aussi beaucoup de charme. Je me souviens de ma grand-mère chinoise, qu’on avait emmené une fois en Normandie. Elle m’avait dit, en voyant la mer et les plages « je n’avais jamais compris les gens avant qui parlaient de mers qui se fondaient dans le ciel à l’horizon, mais maintenant, je sais. »